Je vous avais parlé de défilés à la maison poulagat. On a Clara qu'est venu vider son sac & tout le monde va y passer. Puisque cette histoire a pris jour dans le désordre & qu'elle continue à plein régime, je vais vous sortir les morceaux comme ils me viennent. De toute façon si je suis bordélique, là, je suis comme un gamin de huit piges qui voudrait rentrer dans une grande école.
En vrac, on va avoir tout le monde qui passe devant le curieux. Et comme entre le moment où y en a un qui passe son examen, le moment où c'est dans les feuilles de chou & le jour où on a le résultat, y en a au moins un autre qui est passé : on peut rien avoir dans l'ordre. En plus je parie que les scores vont être nuls. Juste un truc pour vous faire baver d'envie & continuer d'apprendre à nager, on a maintenant :
Alors je commence par Riri. Il a passé sa journée au poste pour raconter ce qu'y sait. Et y dit ce que je vous avais causé tout à l'heure. C'est pas lui qu'a décidé de rembourser Lilly. Il est pas là pour ça & ses gars, ils ont fait leur turf comme c'est dit dans les bouquins. C'est sûr que ça fait beaucoup, mais si on lui en retourne une liasse c'est qu'elle avait raqué encore plus. Ensuite là où ça le gène un peu plus c'est que sa gonze elle bossait pour Célimène, donc pour Lilly. J'ai dit « bossait » car c'est plus le cas, elle a plaqué la bande à Lilly. C'était y a peut-être que quelques jours, mais elle l'a fait. Donc, on a un ministre, dont l'équipe à renvoyer un gros paquet à la vioque, & sa meuf dont le turf était de faire grossir le pactole. La donzelle est là pour améliorer le tas de grisbi, le mec son truc c'est d'en récupérer un max & y fait le contraire, il en donne. C'est sûr que ça fait bizarre, surtout qu'y paraît que la bande à Lilly a pas tout dit sur l'artiche de la vieille.